En souvenir de mon adoré Garçon, pour perpétuer son souvenir, mais aussi pour dénoncer les souffrances auxquelles il a du faire face, du fait de la maladie bien sur , mais également du fait du corps médical, corps médical très certainement inconscient du manque d’humanité dans lesquels l’application stricte et limitée de règles établies et de protocoles, font d’eux des techniciens appliquant un processus, ne considérant plus véritablement l’humain en souffrance , mais appliquant envers et contre tout entendement, une technique à une problèmatique.